<bioghist> Biographie ou histoire
Attributs
@altrender ? Autre proposition de rendu. Voir aussi @render
@audience ? external | internal )
Audience (diffusion publique, restreinte…)
@encodinganalog ? Concordance d’encodage avec une autre norme (ex : MARC)
@id ? {ID}
Identifiant d’un élément, unique pour un document. La valeur choisie permet d'identifier le contenu pour debenir la cible d’un lien
Enfants
A. <address> 
H. <head> 
L. <list> 
N. <note> 
P. <p> 
T. <table> 
Modèle head ? m.blocks (m.inter (m.inter.noquote (address | chronlist | list | note | table )) | blockquote )) | p )) | bioghist | dao | daogrp ) +
Parents
D. <descgrp> 

Élément contenant un texte rédigé ou une chronologie, qui place de façon concise les documents d’archives dans leur contexte, en fournissant des informations à propos de leur(s) producteur(s). Cela inclut des informations significatives sur la vie d’un individu ou d’une famille, ou sur l’histoire administrative d’une collectivité. L’élément <bioghist> peut contenir simplement du texte dans une série d’éléments Paragraphe <p>, et/ou un élément Liste chronologique <chronlist> qui associe des dates et des fourchettes de dates à des événements. On peut emboîter des éléments <bioghist> les uns dans les autres lorsqu’on décrit un ensemble complexe de documents comme une collection ou un fonds de papiers de famille, et qu’on souhaite avoir des sections portant éventuellement des titres distincts. On peut aussi utiliser la propriété récursive de l’élément <bioghist> pour permettre des restitutions ou des exploitations multiples du balisage. On peut ainsi l’utiliser pour isoler une partie du texte qu’on souhaite extraire pour en faire une sous-zone de la zone 545 de MARC21.

Cet élément est comparable à l’élément 3.2.2 d’ISAD(G), aux sous-zones 545$a et $b de MARC21 et à la zone 314 d’UNIMARC.

<c level="fonds">
<did>
<unittitle>Correspondance de Marie-Antoinette</unittitle>
<unittitle>Correspondance de Fersen</unittitle>
<origination>Fersen, Hans Axel (comte de)</origination>
<physdesc>2 cartons (440AP/1 à 440AP/3), 0,30 mètres linéaires</physdesc>
</did>
<bioghist>
<p>Officier de dragons de la garde suédoise, Hans Axel, comte de Fersen (1755-1810) devint en 1779 colonel du régiment français de Royal-Bavière et il participa à la guerre d’Indépendance américaine sous les ordres de Rochambeau. Colonel propriétaire du régiment de Royal-Suédois en France, il conquit tous les grades en Suède, devint maréchal du royaume. Très en faveur à la cour de Versailles, où il séjourna longtemps, il avait voué une sorte de culte à Marie-Antoinette. Il favorisa la fuite de la famille royale à Varennes en 1791. Après l’arrestation du roi, il s’enfuit en Belgique. Rentré en Suède, il fut accusé d’avoir empoisonné le prince royal Christian Auguste et fut lapidé par le peuple lors des funérailles.</p>
</bioghist>
</c>
<c>
<bioghist>
<head>
<emph render="smcaps">Présentation des producteurs :</emph>
</head>
<bioghist>
<head>
<emph render="bolditalic">1. La famille Hue de Miromesnil.</emph>
</head>
<p>D'origine bourgeoise, la famille Hue, établie à Saint-Lô, est anoblie en 1590. Elle acquiert le nom " Hue de Miromesnil " au XVIIème siècle par une alliance avec les familles Dyel des Hameaux et de Miromesnil. C'est à cette époque que la famille Hue se divise en trois branches : la branche aînée Hue de la Roque et de Miromesnil ; celle-ci s'éteint en 1828 avec Anne Angélique Armande Georgette ; les deux branches cadettes Hue de Vertmanoir et Hue de la Trourie s'éteignent respectivement en 1778 et au milieu du XVIIème siècle. A l'exception d'un document, seuls les Hue de la Roque et de Miromesnil sont représentés dans ce fonds. Tous les personnages de cette branche ont eu des fonctions au parlement de Rouen jusqu'à la plus éminente de premier président, occupée par Armand Thomas Hue, marquis de Miromesnil, de 1757 à 1774.</p>
<bioghist>
<head>
<emph render="bold">1.1. Les premiers Hue </emph>
</head>
<p>Le premier membre du lignage connu est Thomas Hue, bourgeois de Saint-Lô au début du XVIe siècle. Mais c'est son petit-fils Pierre, seigneur de Vertmanoir et de La Roque, qui apparaît en premier dans le fonds, au travers de son testament et du règlement de sa succession. Pierre Hue (autour de 1550-1590) est garde de la monnaie de Saint-Lô et premier échevin de la ville, député aux Etats de Normandie de 1585. Il est anobli en mars 1590 et meurt en juillet de la même année. De lui naissent les trois branches de la famille Hue. Des branches cadettes Hue de Vertmanoir et Hue de la Trourie, le fonds contient uniquement un contrat de mariage de Marie Hue de la Trourie, petite-fille de Pierre.</p>
<p>[...]</p>
<p>[...]</p>
</bioghist>
</bioghist>
</bioghist>
</c>
Correspondance de Marie-AntoinetteCorrespondance de Fersen
Cote440AP
Dates1788-1804
OrigineFersen, Hans Axel (comte de)
Description2 cartons (440AP/1 à 440AP/3), 0,30 mètres linéaires
Histoire administrative

Officier de dragons de la garde suédoise, Hans Axel, comte de Fersen (1755-1810) devint en 1779 colonel du régiment français de Royal-Bavière et il participa à la guerre d’Indépendance américaine sous les ordres de Rochambeau. Colonel propriétaire du régiment de Royal-Suédois en France, il conquit tous les grades en Suède, devint maréchal du royaume. Très en faveur à la cour de Versailles, où il séjourna longtemps, il avait voué une sorte de culte à Marie-Antoinette. Il favorisa la fuite de la famille royale à Varennes en 1791. Après l’arrestation du roi, il s’enfuit en Belgique. Rentré en Suède, il fut accusé d’avoir empoisonné le prince royal Christian Auguste et fut lapidé par le peuple lors des funérailles.

D'origine bourgeoise, la famille Hue, établie à Saint-Lô, est anoblie en 1590. Elle acquiert le nom " Hue de Miromesnil " au XVIIème siècle par une alliance avec les familles Dyel des Hameaux et de Miromesnil. C'est à cette époque que la famille Hue se divise en trois branches : la branche aînée Hue de la Roque et de Miromesnil ; celle-ci s'éteint en 1828 avec Anne Angélique Armande Georgette ; les deux branches cadettes Hue de Vertmanoir et Hue de la Trourie s'éteignent respectivement en 1778 et au milieu du XVIIème siècle. A l'exception d'un document, seuls les Hue de la Roque et de Miromesnil sont représentés dans ce fonds. Tous les personnages de cette branche ont eu des fonctions au parlement de Rouen jusqu'à la plus éminente de premier président, occupée par Armand Thomas Hue, marquis de Miromesnil, de 1757 à 1774.

Le premier membre du lignage connu est Thomas Hue, bourgeois de Saint-Lô au début du XVIe siècle. Mais c'est son petit-fils Pierre, seigneur de Vertmanoir et de La Roque, qui apparaît en premier dans le fonds, au travers de son testament et du règlement de sa succession. Pierre Hue (autour de 1550-1590) est garde de la monnaie de Saint-Lô et premier échevin de la ville, député aux Etats de Normandie de 1585. Il est anobli en mars 1590 et meurt en juillet de la même année. De lui naissent les trois branches de la famille Hue. Des branches cadettes Hue de Vertmanoir et Hue de la Trourie, le fonds contient uniquement un contrat de mariage de Marie Hue de la Trourie, petite-fille de Pierre.

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